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Ouvrages imprimés (bibliothèque)
Cimetières et concessions funéraires
Identificateur de la ressource ISBN
Mention de responsabilité
Langue des unités documentaires
Lieu de publication, production et/ou distribution
Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur
Date de publication, production et/ou distribution
N° casier : 204
NC Libre accès en salle de lecture
Type de présentation matérielle et importance matérielle
Dimensions et unité de dimensions
Titre propre de la collection ou de la monographie en plusieurs parties
Notes sur la zone de la publication, production, distribution, etc.
Notes sur la zone de l’identificateur de la ressource et des modalités d'acquisition
C'est souvent lors d'un enterrement ou d'une visite au cimetière à la Toussaint qu'on découvre qu'une tombe familiale est en mauvais état, que la mairie y a placé une demande de destruction ou un panneau signalant que la concession touche à sa fin. Les mairies récupèrent en effet les concessions arrivées à leur terme ou les tombes abandonnées, sans prévenir les descendants autrement que par cet affichage et par publication dans le bulletin municipal. Avisées à temps, les familles auraient pourtant pu les prolonger et les relever pour un coût bien inférieur à celui d'une concession nouvelle. Quelles sont les obligations des municipalités ? Et pour les familles, comment prolonger, relever une concession ou tout simplement la retrouver si l'on n'est même pas sûr de son existence ou de sa durée ? Comment stopper le processus? Ces questions sont particulièrement d'actualité depuis la crise sanitaire. Elles intéressent aussi plus largement tous les généalogistes, car les dossiers de concession leur apportent des brassées d'informations familiales. Spécialiste de ces procédures, qu'elle a souvent accompagnées, la généalogiste professionnelle Myriam Provence livre ici les conseils utiles en fonction des cas. [4e de couverture]