294II - Fonds Marie-France Antona

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Cote/Cotes extrêmes

294II/1-294II/55

Date

1975-2016

Importance matérielle

7,6 ml

Origine

Marie-France Antona, militante associative.

Biographie ou Histoire

 

Marie-France Antona est née le 7 août 1953 au Maroc (Khouribga). Elle passe sa petite enfance à Casablanca et en part en 1960 lorsque sa famille s'installe à Bellegarde dans l'Ain. Elle grandit dans un milieu très engagé politiquement et socialement. Son père est syndicaliste, juge prudhomme, responsable politique et très impliqué dans les luttes pour les indépendances (Maroc, Algérie). Elle baigne dans un climat de tolérance et de solidarité. Elle passe tous ses étés dans son village corse (Frasseto) auprès de sa famille et de ses grands-parents. Cela la sensibilise aux questions d'exil, de racines, de migrations, de bilinguisme et d'identité culturelle.

 

Formation et carrière

Elle s'intéresse aux revendications autonomistes qui émergent dès les années 1970 en Corse  et particulièrement au renouveau culturel. Elle prépare un bac littéraire au lycée Vaugelas de Chambéry et profite d'un environnement stimulant (activités artistiques, culturelles, éducation populaire, démocratie scolaire post-mai 68). Arrivée à Lyon en 1971, pour intégrer la classe préparatoire littéraire du lycée Edouard-Herriot, elle y rencontre des professeurs engagés dans la Résistance, Denise Joussaud, Juste entre les Nations et Jeannette Colombel. Elle continue ses études de lettres modernes puis de linguistique à l'Université Lyon II. Pendant ses années étudiantes, elle rejoint l'UNEF et l'UEC. Professeure certifiée de Lettres modernes, elle s'oriente tout de suite vers les pédagogies alternatives, à la vidéo, à l'analyse des médias. Dans le bassin minier du Pas-de-Calais où elle enseigne huit ans durant, elle se forme à la pédagogie pour enfants migrants, au travail en équipe pluridisciplinaire, à la formation d'adultes. De retour à Lyon, elle enseigne deux ans à la Martinière des filles puis intègre l'Université Lyon I jusqu'à son départ à la retraite en 2016. Chercheuse en pragmatique des interactions télévisées, elle se penche sur la téléréalité, le community organizing, la place des anonymes dans l'espace public télévisé, le recours à l'émotion et l'argumentation du Front National. A partir de 1992, elle devient membre de la Grande loge féminine de France et s'intéresse aux questions de spiritualité, de laïcité et d'ésotérisme lyonnais et entre autres à Pierre Simon Ballanche.

 

Première mobilisation en faveur du quartier Moncey et création du comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey

A partir de février 1997, elle rejoint la mobilisation habitante contre la démolition du quartier Moncey. Elle réside de 1988 à 2016 au 10 rue Paul Bert dans le 3ème arrondissement de Lyon, au cœur de la Guillotière historique. Elle y a déjà habité de 1971 à 1980 avant sa mutation dans le bassin minier. Elle y vit, est attirée par l'ambiance villageoise, populaire et méditerranéenne du quartier mais n'en connaît pas les arcanes qui permettent une implication citoyenne.

Classé en Politique de la Ville depuis 1992, le quartier Moncey, suite à la démolition du Prisunic en 1989, l'achèvement du CLIP en 1996, est en suspens, dans un état de déshérence avancé et dans l'attente de sa démolition avec la percée de la rue Moncey. Lors de la première réunion du Comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey qui vient d'être initié par le DSU et un collectif d'associations, à laquelle elle assiste,  elle saisit la menace qui pèse sur le quartier Moncey. Elle travaille étroitement avec Jean Louis Routhier (Comité espace libre) qui fait le relais avec les actions précédentes initiées dès 1988, avec Christine Gomez, habitante historique du quartier, Bruno Couturier, chef de projet DSU (Politique de la ville), David Chaabi et Farid Kairouani (Association OQP). Elle se charge très vite de l'animation du Comité qui se réunit tous les mardis pour augmenter le pouvoir d'agir des habitants (empowerment), établir un diagnostic précis de l'état d'abandon du quartier et co-construire un projet de réhabilitation et de requalification sociale en vue d'intégrer la commission Moncey créée par Raymond Barre. Cette instance pluridisciplinaire devait éclairer sa décision quant au sort du quartier Moncey. En septembre 1997, Raymond Barre ouvre la Commission Moncey aux collectifs habitants et aux associations. En février 1998, Raymond Barre écarte le scénario de la démolition induit par la percée Moncey. Le comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey (association de fait libre, informelle et souple co-animée par Marie-France Antona, Jean-Louis Routhier et Christine Gomez et d'autres à la mesure de leur disponibilité) participe, dès lors, à toutes les concertations sur la mise en œuvre du projet de réhabilitation et de requalification sociale (habitat, espaces publics, cadre de vie., commerces, identité du  quartier, animations, problématiques sociales, éducatives). Il se fait aussi lanceur d'alerte quand la situation l'exige (cadre de vie, sécurité, violence, insalubrité).  Il se transforme à l'issue des réunions hebdomadaires (dans le local du DSU 11 rue de Turenne) en permanence d'écrivain public. Il est un relais d'information. Il est en lien permanent avec les élus, les techniciens, les autres associations. Sa couverture médiatique est importante et de nombreux étudiants ou chercheurs contribuent à une approche distancée et prospective par leurs travaux universitaires.

 

Le projet du centre social Bonnefoi et l'association Place du Pont

La régularité des réunions hebdomadaires avec les habitants et les commerçants et la confiance qui  s'installe entre tous les membres, orientent progressivement le Comité vers la mise en place d'animations festives, culturelles, d'expositions, de rencontres, de débats. Dès 1998, les habitants et les associations réclament une maison commune pour accueillir toutes les activités qu'ils veulent créer.

En 2001, à l'occasion de l'élection de Gérard Collomb à la Mairie de Lyon et grâce à la médiation de Martine Roure, née rue Montebello et nouvelle adjointe aux affaires sociales, Marie-France Antona fait acheter par la ville les locaux du 5 rue Bonnefoi et du 14 rue Villeroy pour y construire un équipement social de proximité de type centre social. L'association porteuse du projet de Centre social, « Pour un centre social rue Bonnefoi », est créée en janvier 2003. Marie-France Antona en est la présidente fondatrice jusqu'à sa transformation en novembre 2005 en « Association pour la gestion du Centre social Bonnefoi ». Elle en reste présidente fondatrice jusqu'en juillet 2008, puis trésorière jusqu'en 2009 et de 2014 à 2018. En 2017, suite à sa découverte de l'ancien chemin, la traversante des passants et de son message d'hospitalité, elle initie le Festival des passants qui est le temps fort du Centre social Bonnefoi. Elle est encore administratrice du Centre social Bonnefoi. Le centre social Bonnefoi est implanté au 5 rue Bonnefoi, (où vécut Monseigneur Ancel, à l'origine du mouvement des prêtres ouvriers) au 11 rue de Turenne et au 7 rue Lacroix dans des locaux mis à disposition par la Ville de Lyon ou Grand Lyon Habitat. En 2004, les locaux du 14 rue Villeroy destinés initialement au Centre social sont mis à disposition par la ville à l'association Islam culture et religion, pour y implanter un lieu de culte.

Entre temps, pour permettre aux activités de préfiguration (soutien scolaire, événements, fêtes, sorties familiales, accès aux droits, valorisation patrimoniale, débats, expositions, conférences, partenariats) du futur Centre social de se développer en amont de l'ouverture, elle crée l'Association Place du Pont avec les militants du Comité d'habitants. Elle en est la trésorière puis en 2010, la présidente. Après l'ouverture du Centre social Bonnefoi en avril 2006, l'association Place du Pont se recentre sur les questions de mémoire et de valorisation patrimoniale (expositions, livrets, balades urbaines, conférences, partage d'informations sur réseaux sociaux).

Le comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey continue de se réunir au 7 rue Lacroix, de manière plus ou moins formelle, tous les quinze jours sur les questions de cadre de vie et de logement. Il est un lieu de parole et un relais d'information.

Avec la mise en place de la loi Vaillant sur la démocratie participative, Marie-France Antona intègre dès 2001 les différents dispositifs de participation : conseil de quartier Moncey-Préfecture-Mutualité, conseil de développement. Elle siège dans la Commission Moncey  jusqu' à sa fermeture en 2008 par Thierry Philip, maire du 3ème arrondissement.

 

Départ de Lyon et don de ses archives

En octobre 2016, à l'occasion de son départ en retraite et d'un déménagement à Ajaccio (Corse du Sud), elle ne peut intégrer le Conseil citoyen Moncey-Guillotière-Voltaire qui vient d'être mis en place en application de la loi Lamy de 2012 mais transmet toute sa documentation aux nouveaux membres. Elle décide aussi de remettre son fonds d'archives militantes conservées et collectées depuis 1997 aux Archives municipales de Lyon. Elle souhaite que la trace de la lutte urbaine à laquelle elle a eu la chance de participer demeure et soit intégrée à l'histoire de la ville. Elle désire que son fonds soit ouvert aux chercheurs.

Responsable associative soucieuse de la préservation de la mémoire de ce quartier, elle a recueilli les archives de l'association solidarité français-immigrés (ASFI), du comité Espace libre (CEL) et de Painlevé loisirs et en a également fait don.

L'ASFI a été créée pendant la guerre d'Algérie et a cessé son activité en 1998. Elle a été fondée par d'anciens résistants comme Denise Joussot, « Juste parmi les Nations », Hélène Chalençon, Nizier Reveyron, Renée Dufourt, Simone Prelle. L'association occupait des locaux 228 rue de Créqui puis 249 rue de Vendôme.Tous les membres sont aujourd'hui décédés mais l'un d'entre eux a laissé quelques archives à Marie-France Antona.

L'association Painlevé loisirs créée en 1981 par un directeur de l'école Painlevé a été dissoute en 2006. Les archives ont été jetées au moment de la dissolution à l'exception de quelques documents que Madame Antona a pu préserver.

Enfin l'association ou comité Espace libre, créée en 1988, au moment de la fermeture et de la démolition du Prisunic, a été absorbée par le comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey et a remis ses archives à Marie-France Antona. "Le comité espaces libre s'est formé en réaction au projet de construction du CLIP, Centre Liberté Péri et a lancé le travail sur la mémoire de la Guillotière. Le Comité Espace Libre a notamment œuvré de 1990 à 1993 pour l'implantation d'un terrain de sports sur l'espace Saint-Jacques qui était la préfiguration de l'actuelle place Bahadourian. Il a accompagné l'action de l'atelier bois qui était situé au 5 rue Bonnefoi dans les locaux autrefois occupés par la JOC, par Monseigneur ANCEL, par l'ACFAL et l'Association Culture et loisirs. C'est d'ailleurs au 5 rue Bonnefoi qu'a été implanté le Centre Social Bonnefoi qui a mis ses pas dans ces générations de passeurs."

 

Retour à Lyon et nouveaux projets

Après un séjour en Corse de fin 2016 à fin 2019 durant lequel, elle se heurte à la violence morale d'une société patriarcale, à l'emprise mafieuse, au déni démocratique et à l'impuissance citoyenne, elle revient vivre à Lyon. Elle vit toujours à la Guillotière et se consacre aux questions de mémoire et de transmission (balades urbaines, projet de signalétique, jumelages de quartiers populaires anciens de centre ville, réflexion sur l' âme des lieux),  de rénovation de l'habitat indigne, d'habitat coopératif et intergénérationnel (commission logement du Conseil Citoyen). Elle participe à la concertation lancée en avril 2021 sur l'avenir de la place Gabriel-Péri pour proposer une alternative au discours sécuritaire dominant véhiculé depuis 2019 par les médias locaux. Inquiète de la déstabilisation et de la fragmentation prévisibles du quartier Moncey à l'horizon 2032, elle reste vigilante pour que quelque chose de son âme populaire et solidaire continue à se transmettre.

Préoccupée par la question d'exil et de déracinement et particulièrement des migrants mineurs non accompagnés, elle se forme à la biographie et aux récits de vie en vue de mettre en place des ateliers d'expression autobiographique afin de favoriser leur enracinement et leur émancipation.

Restée très proche du Maroc, elle séjourne régulièrement dans le Sahara occidental.

 

Histoire de la conservation

Avant leur entrée aux Archives municipales de Lyon, ces archives étaient conservées au domicile de la donatrice.

Modalités d'entrées

Don de Marie-France Antona à la ville de Lyon en date du 20 octobre 2016.

Présentation du contenu

Le fonds Marie-France Antona se divise en autant de sous-fonds que d'associations implantées dans le quartier historique de la Guillotière qu'elle a collectés, avec lesquelles elle a milité voire qu'elle a présidées.

Les trois premiers sous-fonds à savoir l'ASFI, Espace libre et Painlevé loisirs sont lacunaires ; seule une petite partie des documents de chaque association a pu être collectée par Marie-France Antona. Elles permettent néanmoins de se faire une idée des actions menées par celles-ci et témoignent des transformations urbaines et sociales survenues au cours des années 1970 à 1990. Elles se composent essentiellement d'archives papier et de quelques photographies.

Les archives du Comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey, de l'association place du Pont et du centre social Bonnefoi sont plus étoffées. Leur raison d'être et leur histoire sont si imbriquées qu'il a parfois été difficile de reconstituer les dossiers ; le classement chronologique a souvent été privilégié pour y mettre de l'ordre. Ces fonds comprennent les papiers de fonctionnement et d'activités relatifs aux projets urbains touchant le quartier Moncey-Péri et à ses habitants, de la documentation collectée par Marie-France Antona sur l'histoire, la sociologie et l'urbanisme du quartier de la Guillotière, les documents fondateurs du centre social Bonnefoi et des photographies. Les photographies rassemblées dans cet album donnent à voir les grands aménagements survenus dans les années 1990-2000. Ils témoignent également de la vie quotidienne et des animations culturelles organisées dans le quartier.

Sensible à préservation de la mémoire du quartier, Marie-France Antona a aussi réalisé plusieurs entretiens enregistrés sur cassettes audio avec des habitants historiques comme Simone Prelle, fondatrice, avec son époux Robert de la MJC des Rancy et militante de l'ASFI.

Ce fonds est particulièrement intéressant pour les chercheurs travaillant sur les thèmes de la politique de la ville et de l'engagement citoyen.

 

Plan de classement du fonds :

294II/1-294II/2 - Collectif Français-Immigrés 3e-7e puis Association solidarité Français-Immigrés (ASFI).

294II/3-294II/5 - Comité Espaces Libres (CEL).

294II/6-294II/7 - Painlevé loisirs.

294II/8-294II/37 - Comité d'habitants et de commerçants du quartier Moncey-Péri.

294II/38-294II/44 - Place du Pont.

294II/45-294II/55 - Pour un Centre social rue Bonnefoi.

Évaluation, tris et éliminations, sort final

Le tri de ces archives a été effectué de septembre 2020 à juillet 2021 avec la donatrice. Il a donné lieu à l'élimination d'environ 2 mètres linéaires de documents, y compris les doubles.

Accroissements

Le fonds est clos.

Mode de classement

Le plan de classement interne à chaque sous-fonds reprend un plan-type commun aux archives d'association. A l'intérieur de ce plan, les documents ont ensuite été classés par support puis par ordre chronologique. Les documents sans date sont placés à la fin de chaque dossier.

Conditions d'accès

Certains documents ne sont pas communicables en raison du respect du délai de 50 ans pour la protection de la vie privée. Cela concerne les cotes 294II/1 à 294II/4, 294II/6 à 294II/9, 294II/13 à 294II/17, 294II/19 et 20, 294II/32 à 294II/38, 294II/40 et 41, 294II/43 à 51 et 294II/54. Toute demande de consultation de documents d'archives privées non encore librement communicables au regard des délais réglementaires des archives publiques peut faire l'objet d'une demande de communication par dérogation. La donatrice a délégué aux Archives municipales de Lyon le soin de statuer sur lesdites demandes.

Conditions d'utilisation

La reproduction à usage privé des documents communicables est autorisée, à l'exception des thèses et mémoires universitaires remis par le donateur et pour lesquels aucune reproduction n'est autorisée.
Les œuvres artistiques présentes dans ce fonds sont communicables, il appartient toutefois au lecteur de contacter les artistes les ayant produites pour toute utilisation.

Documents en relation

Archives municipales de Lyon

 

  • Archives publiques

2395WP, 2396WP, 2397WP, 2398WP et 2702WP, archives de la mission Guillotière/Moncey/Voltaire et notamment des chefs de projet Bruno Couturier et Brigitte Simon.

1930WP, 2650WP, versements du serivce développement territorial/politique de la ville, en particulier les dossiers de subventions aux associations des années 1980 à 2000.

330WP, 951WP, 971WP, 1419WP, versements du service de la voirie concernant notamment la transformation du quartier Moncey aux XIXe et XXe siècles.

1097W, versement du bureau d'hygiène comprenant des articles sur l'habitat insalubre.

Archives des cabinets du maire, mandature de Francisque Collomb (1976-1989), Michel Noir (1989-1995), Raymond Barre (1995-2001) et Gérard Collomb (2001-2014).

 

  • Archives privées

321II/1 à 6, fonds Jean Villelongue (1959-1984). Ce fonds est essentiellement composé des archives de l'association de l'union de défense des expulsés du quartier Saint-Antoine-Mercière des années 1960 à 1980. Il comprend les documents administratifs de l'association mais surtout les archives liées à la défense des habitants et des monuments de ce quartier.

 

Bibliographie

BEGAG Azouz, Lyon, Place du Pont - la place des Hommes Debout, Lyon, Editions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, 2011 (1C/8965/SAL).

BERTIN Dominique, Lyon de la Guillotière à Gerland, le 7e arrondissement 1912-2012, Lyon, Editions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, 2012 (cote AML : 1C/9020/SAL).

HEYRAUD Emmanuel, La Politique de la ville - maîtriser les dispositifs et les enjeux, Paris, BERGER-LEVRAULT, 2010 (cote AML : 1C/601311).

PELLETIER Jean, Lyon, connaître son arrondissement, le 3e [troisième], Lyon, Editions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, 2000 (cote AML : 1C/8895/SAL).

RACINE Roland, Lyon Rive Gauche, Mémoire en Images, Mayenne, ALAN SUTTON, 2013 (cote AML : 1C/9105/SAL).

Cote/Cotes extrêmes

294II/8-294II/29

Date

1995-2015

Mode de classement

Classement chronologique, puis thématique ou typologique.

1998.

Cote/Cotes extrêmes

294II/9

Date

1998

Présentation du contenu

Fonctionnement : cahier de réunions (1997-1998), coordonnées et liste de membres.
Activités : notes et lettres d'information relatives à la requalification du quartier, comptes rendus de réunion internes et externes, dossier d'organisation du 8 décembre, extraits des délibérations, interventions dans des colloques, plan, correspondance.
Documentation : coupures de presse, affiches des manifestations organisées par le comité, imprimés publicitaires et catalogues.

Conditions d'accès

Communicable au bout de 50 ans à partir de 1998 (Communicabilité vérifiée)