30C - Articles et monographies en ligne

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Cote/Cotes extrêmes

30C/1-199

Note de résumé

Documentation numérique consultable sur des plateformes, éclairant l'histoire de Lyon. Les liens pour y accéder sont indiqués pour chaque document.

Des fleurs d'indiennes aux roses de Lyon, la production des manufactures provençales et la peinture de fleurs enseignée dans les académies

Cote/Cotes extrêmes

30C/137

Mention de responsabilité

 Aziza Gril-Mariotte

Langue des unités documentaires

français

Date de publication, production et/ou distribution

2018

Conditions d'accès

NC Archives en ligne

Pagination

pp. 111-128

Présence d'illustration

ill. en coul.

Composition du matériau

numérique

Notes sur la zone du titre et de la mention de responsabilité

Extrait de : Rives méditerranéennes [En ligne], 56 | 2018, mis en ligne le 25 mai 2019

Notes sur le contenu

Notes bibliogr. 

Autres notes

Article accessible en ligne sur OpenEdition : https://doi.org/10.4000/rives.5405  [consulté le 06/07/2022]

Note de résumé

Les indiennes évoquent des toiles de coton imprimées de motifs orientaux. Les échantillons conservés dans le Manuscrit de Richelieu montrent que les fabriques de toiles peintes marseillaises ont repris ce vocabulaire, entre la fin du xviie siècle et la première moitié du xviiie siècle, pendant la prohibition (1686-1759). La levée de la prohibition entraîne la délocalisation des manufactures dans le reste de la Provence, la plus célèbre est la manufacture d'Orange qui aurait employée des artistes formés dans les académies. Les rares étoffes conservées posent la question de leur rôle dans la création de motifs et le renouvellement artistique des toiles peintes. L'ouverture de l'Académie de peinture à Marseille en 1752 et de l'école de dessin à Lyon en 1756, a-t-elle contribuée à l'évolution stylistique des motifs ? À partir des sources, quelques étoffes conservées de la manufacture d'Orange comparées aux échantillons marseillais, nous donnerons plusieurs éléments de réponse.