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Cote/Cotes extrêmes
Date
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Particularité physique
Origine
Histoire de la conservation
Ces documents proviennent d'archives familiales, de librairies spécialisées, de salles des ventes, etc.
Modalités d'entrées
Entrées par voie extraordinaire (dons et achats).
Présentation du contenu
Le fonds est constitué d'une collection d'estampes classée en 11 ensembles :
Évaluation, tris et éliminations, sort final
Conservation définitive.
Accroissements
Ce fonds est ouvert.
Mode de classement
La série 16 Fi est consacrée aux estampes entrées par voie extraordinaire (dons, achats).
La description dans l'ordre numérique des cotes a été entièrement revue en 2020. En 2021, le fonds a été repris en créant un répertoire méthodique détaillé, de manière à faciliter sa consultation. Selon les ensembles, les documents sont classés et décrits par ordre numérique (numéro de cote), chronologique (date de création) ou alphabétique (du sujet ou de leur producteur).
A noter :
Conditions d'utilisation
Langue des unités documentaires
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques
Le conditionnement du fonds 16FI a été repris en 2020 en rangeant les documents par format, à savoir :
Autre instrument de recherche
Récolement numérique.
Existence et lieu de conservation de copies
Sauf exception, ces documents sont numérisés et consultables en pièces jointes.
Documents en relation
Archives municipales de Lyon
Archives du département du Rhône et de la Métropole de Lyon
Bibliothèque municipale de Lyon
Lectura Plus, portail de l'ARALL
Bibliothèque nationale de France
Mots clés typologiques
Mode de classement
Classement par ordre numérique.
Cote/Cotes extrêmes
Biographie ou Histoire
La construction du pont est intimement liée au projet d´extension de la ville sur la rive gauche qui, depuis 1763, n´était accessible que par la traille du Puits Gaillot appartenant aux Recteurs de l'Hôtel Dieu et conduisant à la promenade de la Grande Allée. En dépit de l´opposition des Hospices, Morand, grâce à l´appui de Henri-Gabriel Bertin, secrétaire d'État depuis 1763, notamment chargé des transports, obtient des lettres patentes royales lui donnant le monopole des traversées du Rhône du pont Saint-Clair au pont de la Guillotière (4 janvier 1771) ; il crée ainsi la Compagnie des intéressés au pont Saint-Clair, devenue Compagnie Morand puis Compagnie des Ponts du Rhône. Le pont Saint-Clair, édifié entre 1772 et 1774 ou 1775, est inauguré par le comte de Provence, frère du roi. Le coût de la construction s'élève d'après Jouffrey à 438 000 livres. Le péage est inférieur de moitié au tarif de l'ancien bac. Selon Jouffrey, le pont fut éclairé à partir de 1783. L'ouvrage résiste à la débâcle des glaces de janvier 1789 [...] À la Révolution, le pont est au centre des combats entre les Lyonnais et l'armée de la Convention ; une redoute établie côté est ne peut être enlevée par les troupes de la Convention. Pendant la Terreur, l'ouvrage prend le nom de pont Rouge, puis de pont de la Victoire après le 9 Thermidor an II. Au début du 19e siècle, l'appellation Morand l'emporte sur celle initiale de pont Saint-Clair. Le péage, supprimé en 1791, est rétabli en 1797, pour n'être définitivement aboli qu'en 1865. Le pont est restauré après 1817, par les architectes Jean-Marie-Gabriel Tibière et Claude Catelin, sous la direction de l'ingénieur François Cavenne. En octobre 1825, quatre arches sont emportées par le fleuve ; le pont est relevé l'année suivante. Henri Vitton, maire de la Guillotière, propose en 1828, d´établir une galerie marchande sur l´un des trottoirs mais son projet n´est pas retenu. Dans les années 1880, on réduit sa circulation en raison de sa vétusté. Le premier pont Lafayette étant dans le même état, on décide de les reconstruire tous les deux simultanément. Le pont Morand en bois est détruit en 1886, le nouveau étant réédifié en 1890. (Source : Maryannick Chalabi ; Pagenot Sandrine ; Havard Isabelle ; Decrock Bruno, Inventaire général du patrimoine culturel. Cf. bibliographie).
Bibliographie
• CHALABI, Maryannick ; PAGENOT, Sandrine ; HAVARD, Isabelle ; DECROCK Bruno. "Pont Saint-Clair, puis pont Rouge, puis pont de la Victoire, puis pont Morand (détruit)". 2010. In : Région Auvergne-Rhône-Alpes. Inventaire général du patrimoine culturel [en ligne]. https://patrimoine.auvergnerhonealpes.fr/dossier/pont-saint-clair-puis-pont-rouge-puis-pont-de-la-victoire-puis-pont-morand-detruit/de1bab6e-9833-40f8-9fd3-85723597c68a
Cote/Cotes extrêmes
Date
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Particularité physique
Dimensions
Modalités d'entrées
Origine inconnue.
Présentation du contenu
Vue perspective du pont Saint-Clair lithographiée par Bachelard d'après un dessin de Marini réalisé d'après un dessin original de 1775.
Conditions d'accès
NC Pièce jointe (Communicabilité vérifiée)
Conditions d'utilisation
Domaine public. Le réutilisateur mentionnera le nom de l'auteur ainsi que le lieu de conservation du document sous la forme suivante : « Auteur - Archives municipales de Lyon, cote ».
Langue des unités documentaires
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques
Tâches d'humidité.
Mots clés lieux
Mots clés typologiques