Comptabilité communale (1597 - 1598). Pièces justificatives des comptes d'Antoine Larchier.

Comptabilité. - Pièces justificatives des comptes d'Antoine Larchier. - Paiements : - à Philibert Genoud, commis à la charge de voyer, pour diverses dépenses faites à l'occasion de l'entrée de Mme de la Guiche, les feux de joie sur le pont de Saône, etc. (p. 1) ; - à Philibert Genoud ; pour son remboursement de l'avance qu'il avait faite pour la dépense et solde de vingt soldats chargés de la garde près M. de Bothéon, lieutenant général, pendant son séjour à la Tourette (p 2) ; - au sieur du Soleil, capitaine de la ville, pour les frais de la solde et de l'entretien d'un caporal et de huit soldats de la compagnie des arquebusiers de la ville, " dont l'on auroit armé et équippé la frégatte mise sur le Rhône pour descouvrir et empescher les entreprises que le duc de Savoye se proposoit exécuter sur icelle ville " (p. 3) ; - à Antoine Provenchère, " hoste du logis ou pend pour enseigne les Trois Roys, en ceste ville ", pour la dépense faite par M. de Vic et son train, en l'année 1594, " lors de la réduction d'icelle à l'obéissance du Roy " (p. 4 à 6) - à Pierre Deperret, enseigne de la compagnie des deux cents arquebusiers de la ville, pour service extraordinaire (p. 7) ; - au capitaine la Vioze pour frais d'un voyage fait auprès de M. de la Guiche, gouverneur, dans sa maison de Chaulmont (p. 8) ; - au capitaine de Faulx, " en don et présent, en considération de la descouverte qu'il a faict au Roy nostre sire de certaine entreprinse que le duc de Savoye, suivy et assisté du sieur d'Albigny, se propose d'exécuter sur cested. ville par la porte Saint-Sebastien "(p. 9) ; - à Flory Prayes, Pierre Perret et Dominique Dufournel, sergents royaux des tailles, pour avoir appelé pendant les audiences les causes de la ville (p. 10). - Transaction passée entre les prévot des marchands et échevins et les sieurs du Soleil et Nadal, relative à la location de cinq arcs de boutique d'une maison appelée la Maison Ronde, sise place de l'Herberie, dont la ville se serait servi lors des derniers troubles (p. 11). - Location par demoiselle Antoinette Guillens, femme et procuratrice de noble me André Corneille, conseiller du roi, receveur des tailles, d'une maison sise en la rue Juiverie, pour une année (p. 12). - Paiement à Jeanne Billet, veuve de François Gonin, poudrier, pour louage d'une maison sise près la porte Saint-Georges et occupée par les Suisses (p. 1,3) ; - à Ennemond Bardel, pour louage d'une maison occupée par les Suisses qui sont de garde à la porte de Pierre-Scize (p. 14 et 15) ; - à Jean Bachet, pour le louage d'une maison et d'un jardin pris et occupés pour loger le capitaine Vallier, commandant de la garnison suisse qui est au pont du Rhône (p. 16). - Lettre de M. d'Illins, relative à des réparations qu'il se propose de faire à une maison louée à la ville (p. 17). - Paiement " au sieur advocat Combe, pour le louage d'un magasin qui luy a esté occupé en rue de Flandres, pour y tenir quatre pièces d'artillerie que l'on avoit faict mener pour la seurté de lad. ville " (p. 18) ; - à Michel Carroud, dominotier à Lyon, pour louage d'une petite maison, sise près la porte de Saint-Georges l et occupée par les Suisses de garde à cette porte (p. 19 et 20) ; - à Jeanne Billet, veuve de François Gonin, poudrier, pour louage d'une maison occupée " par les notables et commis qui sont aux chaisnes d'Ainay " (p. 21) ; - à la même, pour le louage d'une maison sise à la porte Saint-Georges et occupée par les Suisses (p. 22) ; - à Jean de Lornage, pour louage d'une chambre de la maison sise près la porte de Pierre-Scize et occupée par les Suisses (p. 23) ; - à Louise Guichard, mère et tutrice des enfants d'Antoine Martin, pour louage d'une petite maison sise prés la porte de Pierre-Scize, et occupée par les Suisses (p. 24 et 25) ; - à noble Milles de la Gette, sieur de Rentière, père et légitime administrateur de Jacques de la Gette, et procureur de Baptiste Vion de la ville de Crest, tuteur des enfants de feu Jean Vion et de Marguerite Buffereau, de son vivant femme en secondes noces du sieur de Rentière, pour loyer d'une maison occupée par le capitaine des Suisses qui sont de garde à la porte Saint-Georges (p. 26 et 27) ; - à Claudine Zelle, veuve de Henry Sève, pour le louage d'une salle et d'une chambre dans sa maison de la rue Saint-Jean, occupées pour le service de M. de la Guiche, gouverneur (p. 28 et 29) ; - à Guillaume Villard, pour l'occupation, par le capitaine des Suisses de garde à la porte Saint-George, d'une maison qu'il tenait en location des héritiers Charles Vion (p. 30) ; - à Antonin Thomas, tuteur des enfants de Benoît Marco, de son vivant tanneur à Lyon, pour loyer de trois maisons et de parties de deux autres maisons occupées par les Suisses de garde à la porte de Pierre-Scize (p. 31 et 32) ; - à Jean Saigne dit la Brosse, pour le louage d'une maison sise près la porte de Pierre-Scize et occupée par les Suisses (p 33 et 34) ; - à Jean Rabier dit Sacremore, pour le louage d'une petite maison occupée par les Suisses de garde à la porte du pont du Rhône (p. 35 et 36) ; - autres paiements pour location de maisons occupées par les Suisses : - à François Ponson, laboureur de Saint-Cyr, pour le louage d'une petite maison, sise près la porte de Pierre-Scize (p. 37) ; - à Alix Thevenet, héritière d'Antoinette Solier et femme de Michel Meiny, et à son mari, pour louage d'une maison sise prés la porte de Pierre-Scize (p. 38 et 39) ; - à Jean Gratien, notaire royal, et à Louise Guichard, sa femme, " ensemblement tuteurs des enfants de feu Anthoine Martin et d'elle ", pour le loyer d'une maison prés la porte de Pierre-Scize (p. 40) ; - à Gaillarde Paillard, veuve de Geoffrey Charmeton, pour une maison sise au même lieu de Pierre-Scize (p. 41) ; - à Michel Carroud, pour une maison près la porte Saint-Georges (p. 42) ; - à Antoine Dumeyne, fileur de soie, pour le louage d'une maison qu'il vient d'acquérir près le pont du Rhône et qui est occupée par le capitaine Vallier, commandant de la garnison suisse de garde à cette porte (p. 43) ; - à Vincent Pinoy, pour le louage d'une maison prés la porte Saint-Georges (p. 44).

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