1C/503910-1C/504101

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Complément du titre

Monographies imprimées : tranche 2 : 500 000 à 599 999 : in quarto et petit in folio (A4)

À la recherche d'un Lyon disparu

Cote/Cotes extrêmes

1C/504080

Autres Cotes

52

Identificateur de la ressource ISBN

978-2-35668-071-6

Modalités d’acquisition

Don

Complément du titre

vie et mort des édifices religieux du IVe au XXe siècle

Mention de responsabilité

Jean-François Reynaud ; avec la collab. d'Olivia Puel

Langue des unités documentaires

français

Lieu de publication, production et/ou distribution

Lyon

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

ALPARA

Date de publication, production et/ou distribution

2021

Conditions d'accès

Communicable

Type de présentation matérielle et importance matérielle

broché

Pagination

1 vol. (282 p.)

Présence d'illustration

ill.

Composition du matériau

papier

Dimensions et unité de dimensions

21 x 30 x 2 cm

Titre propre de la collection ou de la monographie en plusieurs parties

Documents d'Archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne

Numérotation au sein de la collection ou de la monographie en plusieurs parties

52

Notes sur la zone de la publication, production, distribution, etc.

2021

Notes sur le contenu

Bibliogr., index, lexique.

Notes sur la zone de l’identificateur de la ressource et des modalités d'acquisition

Inv. AML : 10429

Autres notes

Justificatif de publication - Ouvrage également consultable en ligne sur OpenEdition : https://doi.org/10.4000/books.alpara.5425 [consulté le 02/02/2022]

Note de résumé

Les églises médiévales lyonnaises ont connu une vie mouvementée. Nombre d'entre elles furent détruites lors des conflits armés, des guerres de Religion et à la Révolution, mais aussi du fait de l'évolution des pratiques religieuses ou architecturales, ou du développement d'espaces urbains nouveaux. Certaines ont totalement disparu : les anciennes basiliques funéraires Saint-Just et Saint-Laurent de Choulans, Saint-Étienne et Sainte-Croix du groupe épiscopal, des chapelles et recluseries. D'autres ont été reconstruites au cours des siècles, comme Saint-Irénée, Saint-Martin d'Ainay, Saint-Nizier et les premières cathédrales sous Saint-Jean. Grâce à l'intérêt pour le patrimoine, surtout médiéval, qui se développe au cours du XIXe siècle, les églises qui étaient encore debout ont été sauvées, mais souvent transformées. À partir de la seconde moitié du XXe siècle, l'étude du patrimoine religieux lyonnais connaît un nouvel élan, avec l'essor de l'archéologie du sous-sol et de l'archéologie du bâti. L'auteur brosse ici un portrait de la ville au cours des siècles, en replaçant les données archéologiques dans leur cadre historique et topographique. Il s'appuie sur les recherches archéologiques qu'il a menées à partir des années 1970 et dont il avait publié une synthèse des édifices antérieurs à 750 dans Lugdunum christianum (1998). Ces analyses sont complétées par des données plus récentes concernant les époques carolingienne, romane, gothique et moderne. Il traite aussi des églises construites par les ordres mendiants et qui ont presque toutes disparu, comme celle des Cordeliers de l'Observance, la seule à avoir été l'objet d'une étude avant sa destruction. Ce travail, qui associe d'autres chercheurs, est d'autant plus nécessaire que les vestiges des édifices de culte ont livré des renseignements de première main sur les périodes les plus anciennes, non seulement sur la vie religieuse mais également sur la topographie urbaine, l'activité économique et la société. [4e de couverture]