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Cote/Cotes extrêmes
Date
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Particularité physique
Origine
Histoire de la conservation
Ces documents proviennent d'archives familiales, de librairies spécialisées, de salles des ventes, etc.
Modalités d'entrées
Entrées par voie extraordinaire (dons et achats).
Présentation du contenu
Le fonds est constitué d'une collection d'estampes classée en 11 ensembles :
Évaluation, tris et éliminations, sort final
Conservation définitive.
Accroissements
Ce fonds est ouvert.
Mode de classement
La série 16 Fi est consacrée aux estampes entrées par voie extraordinaire (dons, achats).
La description dans l'ordre numérique des cotes a été entièrement revue en 2020. En 2021, le fonds a été repris en créant un répertoire méthodique détaillé, de manière à faciliter sa consultation. Selon les ensembles, les documents sont classés et décrits par ordre numérique (numéro de cote), chronologique (date de création) ou alphabétique (du sujet ou de leur producteur).
A noter :
Conditions d'utilisation
Langue des unités documentaires
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques
Le conditionnement du fonds 16FI a été repris en 2020 en rangeant les documents par format, à savoir :
Autre instrument de recherche
Récolement numérique.
Existence et lieu de conservation de copies
Sauf exception, ces documents sont numérisés et consultables en pièces jointes.
Documents en relation
Archives municipales de Lyon
Archives du département du Rhône et de la Métropole de Lyon
Bibliothèque municipale de Lyon
Lectura Plus, portail de l'ARALL
Bibliothèque nationale de France
Mots clés typologiques
Mode de classement
Classement par ordre chronologique.
Cote/Cotes extrêmes
Importance matérielle
Biographie ou Histoire
Le souci de commémorer le souvenir du siège de Lyon face aux armées de la Convention et celui de la dure répression qui s'ensuivit, remonte au lendemain de Thermidor. L'architecte lyonnais Claude Cochet, élève du célèbre Boullée, avait édifié un cénotaphe aux victimes du Siège dans la plaine des Brotteaux où s'étaient déroulées les exécutions en masse et où les cadavres avaient été ensevelis. Plusieurs estampes nous ont conservé le souvenir de ce monument qui fut détruit après un an d'existence, le 10 janvier 1796. Avec la Restauration, le projet fut repris sur des bases plus ambitieuses. Tandis qu'à Paris, l'on projetait la chapelle expiatoire destinée à recevoire les restes, sinon les reliques, de la famille royale, on organisait, à Lyon, une souscription à l'effet de construire un monument funéraire où seraient conservés les ossements de ceux en qui l'on voulait voir les martyrs de l'anti-Révolution. Le projet était soutenu par le propre frère du Roi, le comte d'Artois. Celui-ci posa symboliquement la première pierre du Monument, le 21 octobre 1814. Un concours d'architecture fut organisé de juillet à décembre 1816. Le programme prescrivait : "Un monument religieux, d'un genre simple mais noble, qui se fasse dinstinguer par l'exactitude et l'ensemble de ses proportions, plutôt que par des ornements dont il faut être avare lorsqu'il est question d'un édifice funéraire ; dans l'intérieur, un seul autel et une place destinée à recevoir les stèles où seront inscrit les noms des souscripteurs. cette église étant consacrée à un objet déterminé, les Artistes pourront lui donner toutes les formes qu'ils jugeront convenir le mieux à sa destination. [...] Il n'y aura pas de chapelle souterraine mais seulement un caveau voûté, destiné à recevoir les ossements qui seront recueillis sur le lieu même et dans les terrains environnants."
Vingt-et-un projets furent présentés. Le jury vota pour celui du jeune Chenavard, mais c'est à son aîné Cochet que revint finalement la commande. Les Archives Municipales conservent, avec les dessins de l'un et l'autre projets, lesquels furent gravés à l'époque, ceux d'un projet inédit signé du monogramme h.f.j. (Frédéric Hotelard ?). Celui-ci avait imaginé un temple grec au milieu d'un jardin élysée. Avec sa pyramide réduite à une façade, le Monument de Cochet essuya des critiques. Il fut sacrifié, en décembre 1906, pour des motifs de voirie mêlés de réactions anticléricales et de spéculation foncière. Le nouveau Monument, construit à proximité sur les plans de l'achitecte Pascalon, était prêt à recevoir les restes des victimes depuis plusieurs années.
Le monument représenté ici semble n'avoir jamais été réalisé.
Présentation du contenu
Voir la description de chaque estampe.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Particularité physique
Dimensions
Biographie ou Histoire
Le monument représenté ici semble n'avoir jamais été réalisé.
Modalités d'entrées
Origine inconnue.
Présentation du contenu
Projet de monument en mémoire des victimes du siège de 1793 gravé par Mermand d'après un dessin de C[ochet]. Il porte l'inscription : "Aux manes des lyonnais".
Conditions d'accès
NC Pièce jointe (Communicabilité vérifiée)
Conditions d'utilisation
Domaine public. Le réutilisateur mentionnera le nom de l'auteur ainsi que le lieu de conservation du document sous la forme suivante : « Auteur - Archives municipales de Lyon, cote ».
Langue des unités documentaires
Documents en relation
Archives municipales de Lyon
• 6PH/827 : photographie d'un autre exemplaire de cette estampe (1977).
Archives départementales du Rhône et de la Métropole de Lyon
• FG/A114 : autre exemplaire consultable sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Projet_de_monument_aux_victimes_de_la_r%C3%A9pression_de_Lyon_de_1793.jpg
Documents séparés
16FI/64 : Epargne de grace (v. 1795).
16FI/172 : monument élevé aux Brotteaux en mémoire des victimes du Siège de 1793 (s.d.).
16FI/65 : autre édition de ce dessin.
Mots clés lieux
Mots clés auteurs
Mots clés typologiques