30C - Articles et monographies en ligne

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Cote/Cotes extrêmes

30C/1-199

Note de résumé

Documentation numérique consultable sur des plateformes, éclairant l'histoire de Lyon. Les liens pour y accéder sont indiqués pour chaque document.

Max Schoendorff (1934-2012) : l'atelier, laboratoire de l'œuvre

Cote/Cotes extrêmes

30C/197

Complément du titre

Thèse de doctorat

Mention de responsabilité


soutenue par Martine Zeraffa ; sous la direction de Laurent Baridon

Langue des unités documentaires

français, résumé en français et en anglais

Lieu de publication, production et/ou distribution

Lyon

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

Université de Lyon, Art et histoire de l'art

Date de publication, production et/ou distribution

2018

Conditions d'accès

NC Archives en ligne

Pagination

3 vol. (432, 397, 266 pp.)

Présence d'illustration

ill. (vol. 2)

Composition du matériau

numérique

Notes sur le contenu

Bibliogr. Notes bibliogr. Index

Autres notes

Thèse accessible en ligne sur Hal thèses : https://theses.hal.science/tel-02064143v1 [consulté le 07/11/2023]

Niveau universitaire : Doctorat

Université de rattachement : Lyon 2

Discipline de thèse : Histoire

Directeur de thèse : Laurent Baridon

Année de soutenance : 2018

Note de résumé

L'œuvre plurielle de Max Schoendorff (1934-2012) est approchée au regard du lieu de sa création : l'atelier de l'artiste. Ce lieu foisonnant de matériel, d'images, d'objets et de livres est emblématique de sa pensée. Il livre les traces de ses multiples activités. La monographie de l'artiste est fondée sur l'archéologie de ce laboratoire. Formé à la littérature classique,imprégné de culture allemande, rompu à la transgression, Schoendorff s'engage dès le milieu des années 1950 à Lyon aux côtés de Roger Planchon et d'un petit groupe d'intellectuels et de créateurs. Il s'affirme en tant qu'initiateur d'une décentralisation de la culture. Il trouve ensuite dans la peinture matière à se forger son propre langage, nourri de l'imaginairesurréaliste, de Max Ernst, des tourments métamorphiques d'une matière essentiellement organique. Sa pensée singulière s'exprime dans une œuvre protéiforme qui traverse les champs de la peinture, de la gravure, du livre et de la scénographie de spectacle. Libertaire et utopiste quant à ses convictions sociales et politiques, il s'engage en fondant la MAPRA, Maison des arts plastiques Rhône-Alpes, et l'URDLA, Centre international estampe et livre à Villeurbanne. [source : thèse]

Mots clés typologiques