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Complément du titre

Monographies imprimées : tranche 2 : 500 000 à 599 999 : in quarto et petit in folio (A4)

Formes de la ruine [catalogue d'exposition]

Cote/Cotes extrêmes

1C/504145

Identificateur de la ressource ISBN

978-2-35906-419-3

Modalités d’acquisition

Don  du Musée des Beaux-Arts de Lyon, février 2024.

Complément du titre

[exposition, Lyon, musée des Beaux-Arts 1.12.2023-3.3.2024]

Mention de responsabilité

sous la direction de Sylvie Ramond et Alain Schnapp

Collectivité auteur

Musée des Beaux-Arts de Lyon. Ville de Lyon (Rhône, France)

Langue des unités documentaires

français

Lieu de publication, production et/ou distribution

Paris

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

Lienart éd.

Date de publication, production et/ou distribution

2024

Conditions d'accès

Communicable

Type de présentation matérielle et importance matérielle

broché

Pagination

1 volume (455 pages)

Présence d'illustration

ill. en coul.

Composition du matériau

papier

Dimensions et unité de dimensions

28 x 25 cm

Notes sur le contenu

Notes bibliographiques

Notes sur la zone de l’identificateur de la ressource et des modalités d'acquisition

Inv. AML : 11286

Autres notes

Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition présentée au Musée des Beaux-Arts de Lyon du 1er décembre 2023 au 3 mars 2024.

Note de résumé

L'ouvrage Formes de la ruine a pour ambition d'établir un dialogue entre tous les types de ruines. Il investigue autant les traditions multiséculaires, qui ont permis en Occident et en Orient l'apparition d'une culture des ruines monumentales devenue dominante, que celles des sociétés qui ignorent jusqu'à la notion de monument. Toutes les formes de pratiques des ruines sont convoquées, qu'il s'agisse de la collecte de fragments d'activités humaines sur et dans le sol, de l'aménagement d'espaces naturels à des fins mémorielles ou cultuelles, ou encore de la construction d'édifices comme les mégalithes, les pyramides et les ouvrages d'art des grands empires. Sont mises en lumière les diverses expériences de la ruine, depuis la récupération des édifices du passé, si chère aux Égyptiens, aux Mésopotamiens ou aux Américains, jusqu'aux Chinois et aux Japonais qui refusent en partie le culte monumental si prisé par leurs contemporains d'Asie, d'Europe et d'Amérique. L'étude des pratiques de mémoire des Indiens, des Africains et des Océaniens montrent que ceux-ci privilégient une sorte de pacte avec la Nature plutôt qu'un assujettissement à des architectures grandioses et parfois même mégalomanes. Ainsi, l'ouvrage propose une sorte de périple des ruines, à travers les civilisations et l'histoire, jusque dans nos sociétés industrielles contemporaines. Il est enrichi d'une anthologie et d'un « ruinier » de 75 entrées (lieux, artistes, théoriciens, concepts) [source : éditeur]