1C/9583-1C/10124

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Complément du titre

Monographies imprimées : tranche 1 : 1 à 299 999 : inférieur à 25 cm de hauteur (hors brochures)

Lyon dans l'Europe carolingienne - Autour d'Agobard (816-840);

Cote/Cotes extrêmes

1C/9831

Autres Cotes

36

Date

2019

Identificateur de la ressource ISBN

978-2-503-58235-1

Modalités d’acquisition

Achat

Langue des unités documentaires

Français

Lieu de publication, production et/ou distribution

Belgique

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

BREPOLS

Date de publication, production et/ou distribution

2019

Conditions d'accès

Communicable

Type de présentation matérielle et importance matérielle

Ouvrage broché

Pagination

1 vol. (380 p.)

Présence d'illustration

ill. couv.

Composition du matériau

Papier

Dimensions et unité de dimensions

15.5 x 23.5 x 2.2 cm

Titre propre de la collection ou de la monographie en plusieurs parties

Haut Moyen Age

Numérotation au sein de la collection ou de la monographie en plusieurs parties

36

Notes sur la zone de l’identificateur de la ressource et des modalités d'acquisition

Inv. AML : 9971

Note de résumé

Lyon capitale des Burgondes (Ve-VIe siècles), avait été marginalisée au temps des royaumes mérovingiens de l'Entre-Seine-et-Rhin, et ses élites décimées par les pouvoirs francs (VIIe-VIIIe siècles). La création d'un empire par Pépin le Bref puis Charlemagne a changé la donne. Dans une construction politique qui veut unir la Germanie à l'Italie, la Saxe à la Catalogne, Lyon retrouve une place centrale : porte de l'Espagne chrétienne, voie d'accès privilégiée à l'Italie lombarde dont Charlemagne a fait son premier objectif militaire. La ville devient la tête de pont de la présence franque dans le sud de l'Europe. Le pouvoir carolingien cependant ne s'impose pas à Lyon seulement par la force, mais en y relevant le gouvernement épiscopal. Des évêques choisis par les empereurs pour leurs compétences intellectuelles sont placés à la tête de la cité. Leidrade et Agohard, Amalaire puis Amolon assurent le rayonnement durable de Lyon par l'excellence des écoles qu'ils fondent et qui attirent des clercs de l'Europe entière, ainsi que par la profusion des manuscrits qu'ils réunissent dans la bibliothèque cathédrale. L'intense activité culturelle lyonnaise du IXe siècle n'est pas corsetée par le soutien politique initial des Carolingiens. Au contraire, les clercs proposent des politiques alternatives au gouvernement des princes francs ; ils appellent à la création d'une Europe unifiée par le respect d'une loi unique et la renaissance d'un empire chrétien universel... Des propositions qui tiennent de l'idéalisme et du fondamentalisme biblique, et qui ne seront jamais suivies d'effet. [Source : quatrième de couverture]

Mots clés typologiques