1C/9583-1C/10124

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Complément du titre

Monographies imprimées : tranche 1 : 1 à 299 999 : inférieur à 25 cm de hauteur (hors brochures)

Le radicalisme d'Édouard Herriot et la crise des institutions, 1905-1954

Cote/Cotes extrêmes

1C/10104

Identificateur de la ressource ISBN

978-2-247-18566-5

Modalités d’acquisition

achat

Mention de responsabilité

Jérôme Henning,... ; sous la dir. de Jean-Louis Mestre et Eric Gasparini ;  préface de Gérard Larcher ; avant-propos de Éric Gasparini et Jean-Louis Mestre

Langue des unités documentaires

français

Lieu de publication, production et/ou distribution

Paris

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

DALLOZ

Date de publication, production et/ou distribution

2019

Conditions d'accès

Communicable

Type de présentation matérielle et importance matérielle

broché

Pagination

1 vol. (XV-671 p.)

Composition du matériau

papier

Dimensions et unité de dimensions

16 x 24 x 3 cm

Titre propre de la collection ou de la monographie en plusieurs parties

Bibliothèque parlementaire & constitutionnelle

Notes sur le contenu

Bibliogr. p. 593-644. Index

Notes sur la zone de l’identificateur de la ressource et des modalités d'acquisition

Inv. AML : 10583

Autres notes

Texte remanié de : Thèse de doctorat : Histoire du droit : Aix-Marseille : 2017

70 euros

Note de résumé

Entre 1905 et 1954, Édouard Herriot incarne l'une des tendances principales du radicalisme français. De la mairie de Lyon à la présidence du Conseil, Édouard Herriot rassemble autour de ses idées une nouvelle génération d'élus pour lesquels la République constitue le régime définitif de la France. En rupture avec la doctrine radicale de la fin du XIXe siècle qui faisait de la révision constitutionnelle un des points de son programme, le radicalisme d'Édouard Herriot accepte définitivement les lois de 1875. Dès lors, malgré la crise des institutions qui caractérise le début du XXe siècle, Herriot tente de préserver le modèle républicain formé à la fin XIXe siècle. Selon lui, les institutions politiques et administratives républicaines doivent être modernisées pour correspondre aux promesses du régime républicain en faveur de la démocratie et de l'application de la science à la politique. Jusqu'en 1926, la tendance radicale menée par Herriot se caractérise par une volonté de refaire la République. Après 1926, contre les différents réformismes qui abordent le problème de la crise institutionnelle, Édouard Herriot et ses partisans résisteront favorisant ainsi la paralysie du régime. Enfin face à la Seconde guerre mondiale et au début de la Quatrième République, ils tenteront, avec moins de succès cette fois, de rétablir ce qu'ils considèrent être la tradition républicaine. Cet itinéraire politique d'un homme et d'un groupe de partisans participant aux principales fonctions de l'État pendant près de cinquante ans permet de comprendre la permanence et les ressorts de la crise institutionnelle française au XXe siècle. Au-delà du Parti radical lui-même, il s'agit de préciser l'importance du processus d'interprétation de la norme constitutionnelle par une force politique de Gouvernement et son influence dans l'évolution des institutions. [source éditeur]

Mots clés matières

Mots clés personnes

Mots clés typologiques