1C/10125 - ...

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Complément du titre

Monographies imprimées : tranche 1 : 1 à 299 999 : inférieur à 25 cm de hauteur (hors brochures)

André Bollier Vélin

Cote/Cotes extrêmes

1C/10262

Identificateur de la ressource ISBN

978-2-86645-988-8

Modalités d’acquisition

achat

Complément du titre

artisan héroïque des journaux clandestins (1920-1944)

Mention de responsabilité

Vianney Bollier

Langue des unités documentaires

français

Lieu de publication, production et/ou distribution

Paris

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

Le Félin

Date de publication, production et/ou distribution

2023

Conditions d'accès

Communicable

Type de présentation matérielle et importance matérielle

broché

Pagination

1 vol. (216 p.)

Présence d'illustration

ill.

Composition du matériau

papier

Dimensions et unité de dimensions

24 x 16 cm

Titre propre de la collection ou de la monographie en plusieurs parties

Résistance

Notes sur le contenu

Bibliogr. p.209-210. - Index

Notes sur la zone de l’identificateur de la ressource et des modalités d'acquisition

Inv. AML : 10982

Note de résumé

André Bollier a tout juste 21 ans et termine ses études à Polytechnique quand, en juin 1941, il est chargé par Henri Frenay de l'organisation et de la diffusion de Combat, le journal de son mouvement. Travailleur infatigable, il va brillamment mener de front son métier d'ingénieur, sa vie de famille et la fabrication des journaux, des tracts et des faux papiers. Il n'hésite pas, quand il le faut, à faire le coup de feu, c'est notamment lui qui dirige la spectaculaire évasion de Berty Albrecht en décembre 1942. Après avoir créé de toutes pièces une imprimerie clandestine rue Viala à Lyon, celui qui s'appelle désormais « Vélin » fournit, au début de l'année 1944, plus d'un million et demi de journaux et de tracts par mois pour plusieurs mouvements de Résistance de la zone sud et de la zone nord (Combat, Franc-Tireur, Défense de la France, La Voix du Nord). Arrêté et torturé à plusieurs reprises, il parvient à s'évader et à reprendre son activité. Le 17 juin 1944, encerclé dans son imprimerie par plus de 150 soldats et miliciens allemands, il livre héroïquement un ultime combat. Né quelques mois après sa mort, son fils Vianney Bollier dessine ici un portrait saisissant de ce héros encore mal connu de la Résistance française. [4e de couverture]